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collage
00:59
2025
France
La série Genesis Protocol est une œuvre collaborative de Muriel Lherm et Treeskulltown. Elle explore la naissance de la conscience en sept actes, mêlant IA, stop-motion et art numérique. Un voyage à travers la lumière, la nature et le cosmos, où chaque œuvre révèle une étape de la genèse de l'existence.
Muriel Lherm est une artiste franco-britannique basée à Londres. Elle combine art génératif IA et esthétique classique avec une approche poétique et contemporaine. En 2025, ses œuvres ont été présentées à Art Basel, NFC Lisbon et AI4Conferences à Las Vegas. Exposée plus de 100 fois dans le monde, elle collabore régulièrement avec des artistes et des projets d’envergure, notamment World of Women, Gamma.io ou encore Claire Silver, dans des expositions physiques et virtuelles à l’échelle internationale.
Treeskulltown est l’avatar conceptuel d’un artiste multidisciplinaire français. Toujours en recherche de connaissances et fort de 20 ans d’expérimentations et d’hybridations entre art physique et digital, son travail porte aujourd’hui sur une quête autant personnelle qu’artistique. Son but est de développer un parallèle temporel, une conversation, avec les maîtres de l’art classique, de créer une subréalité à l’histoire de l’art en utilisant des techniques d’animation en médias mixtes réalisant ainsi un palimpseste analogique en strates digitales. Depuis 2022, son travail est exposé et présenté internationalement dans des grands évènements tels que : Art Crush Gallery, le MOWNA, NFT NYC, NFT Japan, DAM Zine, NFC Lisbonne, NFT Factory Paris, R HAUS Art Basel Miami, QUANTA Gallery London, IHAM NFT Gallery Paris.

L'origine de la perception. Une seule illumination perce le vide - le premier souffle de la conscience.
Application du concept de sous-réalisme à la première œuvre
Exploration de l'origine de la perception :
Cette première œuvre devient une exploration visuelle de la naissance de la conscience, un terrain fertile pour l'application du concept de sous-réalisme. La « lumière unique qui perce le vide » symbolise non seulement la révélation initiale, mais aussi la profondeur sous-jacente de l'expérience humaine. Dans ce contexte, nous réfléchissons à la nature souvent superficielle de notre perception, nous invitant à plonger dans les émotions et les souvenirs qui subsistent sous la surface.
I. La lumière, véritable révélateur
Plutôt que de considérer la lumière comme un simple effet visuel, elle devient une puissante métaphore de la créativité et de l'introspection, illuminant les couches d'émotions et d'aspirations qui émanent du subconscient. L'œuvre incarne l'idée que chaque éclat de lumière est en fait une invitation à explorer le magma des émotions enfouies.
II. Hybridation technique et sous-art
L'intégration des techniques d'animation numérique et de stop-motion en claymation représente une forme de Sub-Art qui s'affranchit des conventions traditionnelles. En superposant ces techniques à l'œuvre initiale de Muriel Lherm, générée par l'IA et remplie d'une sublime richesse narrative, Treeskulltown tente de transcender le médium pour accroître la complexité narrative et émotionnelle déjà clairement identifiée. Ce palimpseste visuel fait écho au motif de la sublimation, transformant des impulsions brutes en une œuvre cohérente et significative.
III. Fluidité et couleurs vives
Les formes fluides et les couleurs vibrantes évoquent une esthétique qui ne recherche pas la beauté superficielle, mais plutôt un engagement avec des émotions authentiques. Cette dynamique répond à l'appel du sous-réalisme, où chaque nuance et chaque mouvement sont des manifestations de sentiments profonds. Les éléments visuels deviennent des vecteurs de la mémoire collective - des souvenirs et des rêves qui résonnent chez chaque spectateur.
IV. Figures flottantes et dualité de la vie
Les figures flottantes, tout en évoquant l'éthéré, représentent aussi des moments figés de réflexion introspective. Leur disposition dans l'espace souligne la dualité entre ce qui est tangible et ce qui reste invisible. Cette interaction entre le physique et le spirituel invite le spectateur à s'interroger sur ses propres expériences conscientes et inconscientes, créant un lien direct avec la notion de conscience collective.
V. Une narration visuelle unique
Chaque élément de cette œuvre contribue à une narration non linéaire qui invite à l'interprétation personnelle. La texture de l'œuvre, à la fois complexe et accessible, incarne l'essence même de la sub-réalité. En évoquant à la fois la légèreté et la profondeur, elle permet aux spectateurs d'explorer leurs propres couches de pensées et d'émotions, favorisant ainsi une connexion universelle. Conclusion
À travers cette première œuvre, le concept de sous-réalisme émerge comme une invitation à réfléchir sur notre propre subconscient. En mettant l'accent sur les intersections entre la lumière et l'obscurité, le tangible et l'intangible, l'art devient le point de départ d'une exploration continue des profondeurs émotionnelles et des vérités sous-jacentes de l'expérience humaine. L'œuvre ne se contente pas d'exister ; elle incarne un dialogue ouvert et en constante évolution, véritable reflet des complexités de la vie, de la conscience et de l'art lui-même.
Une collaboration unique entre Muriel Lherm et Treeskulltown est prévue :
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2025