Black Hole plonge le spectateur dans un environnement numérique en constante transformation. L'animation 3D en boucle révèle une machine vivante où les câbles pulsent, les matériaux se déplacent et la lumière vacillante s'écoule à travers des structures qui s'effondrent. Il n'y a pas d'origine ou de fin fixe. La séquence passe par la désintégration et la reconstruction, formant un écosystème où la technologie se consomme et se régénère. L'œuvre expose un monde où les machines traitent sans fin les restes d'énergie, de données et de matériaux mis au rebut.