Vue à travers un écrin de dahlias aux teintes cuivrées, la Tour Eiffel se fond dans la palette chaude de l’automne. Habillée de feuillages et de fleurs, elle devient un prolongement de la nature, comme si la ville et le vivant ne faisaient plus qu’un. Cette image célèbre l’harmonie entre architecture et paysage, entre le fer et le fragile.