Vue d’en haut, les champs de tulipes de Hollande se déploient comme une composition infinie de rythme et de répétition. Des lignes de rose pâle s’étendent vers l’horizon, où la lumière efface la frontière entre la terre et l’air. Le paysage se transforme en une géométrie abstraite. Un équilibre entre structure et sérénité, entre nature et ordre humain. Laissez-vous porter par le flux silencieux des rangées et de la lumière, où la perspective se dissout et où le familier devient pure forme. Une méditation sur la distance, la croissance et la précision discrète du printemps vu d’en haut.