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Comme un rêve dont on prend conscience seulement au réveil, c'est uniquement une fois terminé que ce projet m'apparaît comme une synthèse de deux thèmes qui me passionnent : la mémoire et la peinture.
La mémoire.
C'est le genre de sujet qui ne se présente pas à vous immédiatement, mais plutôt à travers le contact avec d'autres artistes qui laissent leur empreinte sur vous sans vraiment savoir pourquoi. Chris Marker, Godard ou Hitchcock en faisaient partie. Fasciné par leur travail, ils étaient mes maîtres dans ce que j'ai ensuite compris comme l'art du montage cinématographique.
Le pouvoir poétique des images du cinéma a été une révélation dans ma relation avec cette forme d'art. J'avais compris qu'il était possible de créer des images mentales simplement en juxtaposant deux images qui étaient distantes l'une de l'autre. En tournant autour de signes que j'avais encore du mal à saisir, mais en expérimentant constamment, ce n'est que par hasard que j'ai découvert les nuages de points. Cette technique permet de reconstruire un moment figé en trois dimensions à partir d'une série de plans. L'idée est de parcourir une rue avec un dispositif de tournage et de visiter le lieu, a posteriori, mais sous un autre angle, un autre point de vue, dans une relation différente avec le moment passé.
Il est alors possible de voir des motifs ou des situations qui avaient été capturés durant mon passage, mais que ma conscience n'avait pas pu saisir. Ainsi, j'avais devant moi quelque chose qui semblait être un squelette ou un fantôme du passé - en d'autres termes, une forme de mémoire qui pouvait être revécue ad infinitum.
Les villes abritent toutes sortes de tels souvenirs, qui à leur tour façonnent l'identité et le récit des villes. C'est pourquoi j'ai passé des années à les explorer, faisant évoluer progressivement l'esthétique même des nuages de points en une version animée, afin de rendre non pas un moment figé du passé, mais plutôt des moments de vie en mouvement, et, dans un style plus terne et plus coloré : en un mot, plus pictural.
La peinture.
Comment transmettre la mémoire d'une expérience esthétique aussi intense que celle de La Mort de Sardanapale ou de Les Ménines ? Comment rendre la densité, la profondeur, le hic et nunc d'une peinture ? Peut-être en essayant de tracer les contours de cette expérience, afin de restaurer non pas une copie exacte, mais plutôt les traces de sa mémoire.
L'imagination artificielle a été un facteur décisif dans la mise en œuvre de cette idée. En effet, cet espace ne serait-il pas un réservoir d'images rêvées, comme dans les villes, que nous devrions ensuite explorer pour révéler des souvenirs réprimés et des recollections oubliées ?
Mon ambition était d'explorer cet espace pictural de la même manière que je pourrais déambuler dans la ville en utilisant ma technique des nuages de points. Cette fois, je voulais m'approcher des imaginaires des peintres, non pas en restaurant les œuvres elles-mêmes, mais plutôt l'empreinte qu'elles avaient laissée dans ma mémoire. C'était comme revenir dans un quartier où j'avais vécu dans ma jeunesse, pour redécouvrir les mêmes sensations, mes aspirations encore intactes ou un amour perdu.
À sa manière, Souvenirs d'une exposition utilise l'imagination artificielle pour revivre, pendant quelques instants, ces moments suspendus dans le temps, peut-être pour les sauver de l'oubli.
Peindre les souvenirs
Que reste-t-il des œuvres d'art lorsqu'elles échappent à notre regard ? Il reste des traces produites par leurs mémoires. Une mémoire composée d'une série de motifs qui s'entrelacent pour constituer des images. Dans cette action proche de l'imaginaire, il s'agit, encore une fois, de donner vie à l'œuvre d'art. C'est faire revivre des formes passées en les actualisant dans notre présent.
La mémoire, province de l'imaginaire
Une œuvre d'art est le précipité de l'imagination de l'artiste. Cet acte de projeter des images qui deviendront ensuite matière est similaire à celui de la mémoire, où les images mentales sont agencées en vue de reconstruire le passé. Ces deux mouvements, l'un tourné vers l'avenir et l'autre vers le passé, se rencontrent dans un espace latent. Ici, l'imagination artificielle agit comme une machine pour restaurer la mémoire d'une expérience esthétique. Elle devient une toile universelle où Bonnard, Monet et Van Gogh coexistent, non pas en tant que figures du passé, mais comme des potentialités, des échos de ce qui aurait pu être et de ce qui pourrait advenir. Dans cet espace imaginaire, la couleur sert de détonateur pour une réminiscence d'œuvres parfois vues, parfois rêvées. Souvenirs d'une exposition est né de ce désir fou d'un peintre : peindre des souvenirs.
Collectionné par Rees_Collection
Comme un rêve dont on prend conscience seulement au réveil, c'est uniquement une fois terminé que ce projet m'apparaît comme une synthèse de deux thèmes qui me passionnent : la mémoire et la peinture.
La mémoire.
C'est le genre de sujet qui ne se présente pas à vous immédiatement, mais plutôt à travers le contact avec d'autres artistes qui laissent leur empreinte sur vous sans vraiment savoir pourquoi. Chris Marker, Godard ou Hitchcock en faisaient partie. Fasciné par leur travail, ils étaient mes maîtres dans ce que j'ai ensuite compris comme l'art du montage cinématographique.
Le pouvoir poétique des images du cinéma a été une révélation dans ma relation avec cette forme d'art. J'avais compris qu'il était possible de créer des images mentales simplement en juxtaposant deux images qui étaient distantes l'une de l'autre. En tournant autour de signes que j'avais encore du mal à saisir, mais en expérimentant constamment, ce n'est que par hasard que j'ai découvert les nuages de points. Cette technique permet de reconstruire un moment figé en trois dimensions à partir d'une série de plans. L'idée est de parcourir une rue avec un dispositif de tournage et de visiter le lieu, a posteriori, mais sous un autre angle, un autre point de vue, dans une relation différente avec le moment passé.
Il est alors possible de voir des motifs ou des situations qui avaient été capturés durant mon passage, mais que ma conscience n'avait pas pu saisir. Ainsi, j'avais devant moi quelque chose qui semblait être un squelette ou un fantôme du passé - en d'autres termes, une forme de mémoire qui pouvait être revécue ad infinitum.
Les villes abritent toutes sortes de tels souvenirs, qui à leur tour façonnent l'identité et le récit des villes. C'est pourquoi j'ai passé des années à les explorer, faisant évoluer progressivement l'esthétique même des nuages de points en une version animée, afin de rendre non pas un moment figé du passé, mais plutôt des moments de vie en mouvement, et, dans un style plus terne et plus coloré : en un mot, plus pictural.
La peinture.
Comment transmettre la mémoire d'une expérience esthétique aussi intense que celle de La Mort de Sardanapale ou de Les Ménines ? Comment rendre la densité, la profondeur, le hic et nunc d'une peinture ? Peut-être en essayant de tracer les contours de cette expérience, afin de restaurer non pas une copie exacte, mais plutôt les traces de sa mémoire.
L'imagination artificielle a été un facteur décisif dans la mise en œuvre de cette idée. En effet, cet espace ne serait-il pas un réservoir d'images rêvées, comme dans les villes, que nous devrions ensuite explorer pour révéler des souvenirs réprimés et des recollections oubliées ?
Mon ambition était d'explorer cet espace pictural de la même manière que je pourrais déambuler dans la ville en utilisant ma technique des nuages de points. Cette fois, je voulais m'approcher des imaginaires des peintres, non pas en restaurant les œuvres elles-mêmes, mais plutôt l'empreinte qu'elles avaient laissée dans ma mémoire. C'était comme revenir dans un quartier où j'avais vécu dans ma jeunesse, pour redécouvrir les mêmes sensations, mes aspirations encore intactes ou un amour perdu.
À sa manière, Souvenirs d'une exposition utilise l'imagination artificielle pour revivre, pendant quelques instants, ces moments suspendus dans le temps, peut-être pour les sauver de l'oubli.
Peindre les souvenirs
Que reste-t-il des œuvres d'art lorsqu'elles échappent à notre regard ? Il reste des traces produites par leurs mémoires. Une mémoire composée d'une série de motifs qui s'entrelacent pour constituer des images. Dans cette action proche de l'imaginaire, il s'agit, encore une fois, de donner vie à l'œuvre d'art. C'est faire revivre des formes passées en les actualisant dans notre présent.
La mémoire, province de l'imaginaire
Une œuvre d'art est le précipité de l'imagination de l'artiste. Cet acte de projeter des images qui deviendront ensuite matière est similaire à celui de la mémoire, où les images mentales sont agencées en vue de reconstruire le passé. Ces deux mouvements, l'un tourné vers l'avenir et l'autre vers le passé, se rencontrent dans un espace latent. Ici, l'imagination artificielle agit comme une machine pour restaurer la mémoire d'une expérience esthétique. Elle devient une toile universelle où Bonnard, Monet et Van Gogh coexistent, non pas en tant que figures du passé, mais comme des potentialités, des échos de ce qui aurait pu être et de ce qui pourrait advenir. Dans cet espace imaginaire, la couleur sert de détonateur pour une réminiscence d'œuvres parfois vues, parfois rêvées. Souvenirs d'une exposition est né de ce désir fou d'un peintre : peindre des souvenirs.
Comme un rêve dont on prend conscience seulement au réveil, c'est uniquement une fois terminé que ce projet m'apparaît comme une synthèse de deux thèmes qui me passionnent : la mémoire et la peinture.
La mémoire.
C'est le genre de sujet qui ne se présente pas à vous immédiatement, mais plutôt à travers le contact avec d'autres artistes qui laissent leur empreinte sur vous sans vraiment savoir pourquoi. Chris Marker, Godard ou Hitchcock en faisaient partie. Fasciné par leur travail, ils étaient mes maîtres dans ce que j'ai ensuite compris comme l'art du montage cinématographique.
Le pouvoir poétique des images du cinéma a été une révélation dans ma relation avec cette forme d'art. J'avais compris qu'il était possible de créer des images mentales simplement en juxtaposant deux images qui étaient distantes l'une de l'autre. En tournant autour de signes que j'avais encore du mal à saisir, mais en expérimentant constamment, ce n'est que par hasard que j'ai découvert les nuages de points. Cette technique permet de reconstruire un moment figé en trois dimensions à partir d'une série de plans. L'idée est de parcourir une rue avec un dispositif de tournage et de visiter le lieu, a posteriori, mais sous un autre angle, un autre point de vue, dans une relation différente avec le moment passé.
Il est alors possible de voir des motifs ou des situations qui avaient été capturés durant mon passage, mais que ma conscience n'avait pas pu saisir. Ainsi, j'avais devant moi quelque chose qui semblait être un squelette ou un fantôme du passé - en d'autres termes, une forme de mémoire qui pouvait être revécue ad infinitum.
Les villes abritent toutes sortes de tels souvenirs, qui à leur tour façonnent l'identité et le récit des villes. C'est pourquoi j'ai passé des années à les explorer, faisant évoluer progressivement l'esthétique même des nuages de points en une version animée, afin de rendre non pas un moment figé du passé, mais plutôt des moments de vie en mouvement, et, dans un style plus terne et plus coloré : en un mot, plus pictural.
La peinture.
Comment transmettre la mémoire d'une expérience esthétique aussi intense que celle de La Mort de Sardanapale ou de Les Ménines ? Comment rendre la densité, la profondeur, le hic et nunc d'une peinture ? Peut-être en essayant de tracer les contours de cette expérience, afin de restaurer non pas une copie exacte, mais plutôt les traces de sa mémoire.
L'imagination artificielle a été un facteur décisif dans la mise en œuvre de cette idée. En effet, cet espace ne serait-il pas un réservoir d'images rêvées, comme dans les villes, que nous devrions ensuite explorer pour révéler des souvenirs réprimés et des recollections oubliées ?
Mon ambition était d'explorer cet espace pictural de la même manière que je pourrais déambuler dans la ville en utilisant ma technique des nuages de points. Cette fois, je voulais m'approcher des imaginaires des peintres, non pas en restaurant les œuvres elles-mêmes, mais plutôt l'empreinte qu'elles avaient laissée dans ma mémoire. C'était comme revenir dans un quartier où j'avais vécu dans ma jeunesse, pour redécouvrir les mêmes sensations, mes aspirations encore intactes ou un amour perdu.
À sa manière, Souvenirs d'une exposition utilise l'imagination artificielle pour revivre, pendant quelques instants, ces moments suspendus dans le temps, peut-être pour les sauver de l'oubli.
Peindre les souvenirs
Que reste-t-il des œuvres d'art lorsqu'elles échappent à notre regard ? Il reste des traces produites par leurs mémoires. Une mémoire composée d'une série de motifs qui s'entrelacent pour constituer des images. Dans cette action proche de l'imaginaire, il s'agit, encore une fois, de donner vie à l'œuvre d'art. C'est faire revivre des formes passées en les actualisant dans notre présent.
La mémoire, province de l'imaginaire
Une œuvre d'art est le précipité de l'imagination de l'artiste. Cet acte de projeter des images qui deviendront ensuite matière est similaire à celui de la mémoire, où les images mentales sont agencées en vue de reconstruire le passé. Ces deux mouvements, l'un tourné vers l'avenir et l'autre vers le passé, se rencontrent dans un espace latent. Ici, l'imagination artificielle agit comme une machine pour restaurer la mémoire d'une expérience esthétique. Elle devient une toile universelle où Bonnard, Monet et Van Gogh coexistent, non pas en tant que figures du passé, mais comme des potentialités, des échos de ce qui aurait pu être et de ce qui pourrait advenir. Dans cet espace imaginaire, la couleur sert de détonateur pour une réminiscence d'œuvres parfois vues, parfois rêvées. Souvenirs d'une exposition est né de ce désir fou d'un peintre : peindre des souvenirs.
Collectionnée par antxx24
Comme un rêve dont on prend conscience seulement au réveil, c'est uniquement une fois terminé que ce projet m'apparaît comme une synthèse de deux thèmes qui me passionnent : la mémoire et la peinture.
La mémoire.
C'est le genre de sujet qui ne se présente pas à vous immédiatement, mais plutôt à travers le contact avec d'autres artistes qui laissent leur empreinte sur vous sans vraiment savoir pourquoi. Chris Marker, Godard ou Hitchcock en faisaient partie. Fasciné par leur travail, ils étaient mes maîtres dans ce que j'ai ensuite compris comme l'art du montage cinématographique.
Le pouvoir poétique des images du cinéma a été une révélation dans ma relation avec cette forme d'art. J'avais compris qu'il était possible de créer des images mentales simplement en juxtaposant deux images qui étaient distantes l'une de l'autre. En tournant autour de signes que j'avais encore du mal à saisir, mais en expérimentant constamment, ce n'est que par hasard que j'ai découvert les nuages de points. Cette technique permet de reconstruire un moment figé en trois dimensions à partir d'une série de plans. L'idée est de parcourir une rue avec un dispositif de tournage et de visiter le lieu, a posteriori, mais sous un autre angle, un autre point de vue, dans une relation différente avec le moment passé.
Il est alors possible de voir des motifs ou des situations qui avaient été capturés durant mon passage, mais que ma conscience n'avait pas pu saisir. Ainsi, j'avais devant moi quelque chose qui semblait être un squelette ou un fantôme du passé - en d'autres termes, une forme de mémoire qui pouvait être revécue ad infinitum.
Les villes abritent toutes sortes de tels souvenirs, qui à leur tour façonnent l'identité et le récit des villes. C'est pourquoi j'ai passé des années à les explorer, faisant évoluer progressivement l'esthétique même des nuages de points en une version animée, afin de rendre non pas un moment figé du passé, mais plutôt des moments de vie en mouvement, et, dans un style plus terne et plus coloré : en un mot, plus pictural.
La peinture.
Comment transmettre la mémoire d'une expérience esthétique aussi intense que celle de La Mort de Sardanapale ou de Les Ménines ? Comment rendre la densité, la profondeur, le hic et nunc d'une peinture ? Peut-être en essayant de tracer les contours de cette expérience, afin de restaurer non pas une copie exacte, mais plutôt les traces de sa mémoire.
L'imagination artificielle a été un facteur décisif dans la mise en œuvre de cette idée. En effet, cet espace ne serait-il pas un réservoir d'images rêvées, comme dans les villes, que nous devrions ensuite explorer pour révéler des souvenirs réprimés et des recollections oubliées ?
Mon ambition était d'explorer cet espace pictural de la même manière que je pourrais déambuler dans la ville en utilisant ma technique des nuages de points. Cette fois, je voulais m'approcher des imaginaires des peintres, non pas en restaurant les œuvres elles-mêmes, mais plutôt l'empreinte qu'elles avaient laissée dans ma mémoire. C'était comme revenir dans un quartier où j'avais vécu dans ma jeunesse, pour redécouvrir les mêmes sensations, mes aspirations encore intactes ou un amour perdu.
À sa manière, Souvenirs d'une exposition utilise l'imagination artificielle pour revivre, pendant quelques instants, ces moments suspendus dans le temps, peut-être pour les sauver de l'oubli.
Peindre les souvenirs
Que reste-t-il des œuvres d'art lorsqu'elles échappent à notre regard ? Il reste des traces produites par leurs mémoires. Une mémoire composée d'une série de motifs qui s'entrelacent pour constituer des images. Dans cette action proche de l'imaginaire, il s'agit, encore une fois, de donner vie à l'œuvre d'art. C'est faire revivre des formes passées en les actualisant dans notre présent.
La mémoire, province de l'imaginaire
Une œuvre d'art est le précipité de l'imagination de l'artiste. Cet acte de projeter des images qui deviendront ensuite matière est similaire à celui de la mémoire, où les images mentales sont agencées en vue de reconstruire le passé. Ces deux mouvements, l'un tourné vers l'avenir et l'autre vers le passé, se rencontrent dans un espace latent. Ici, l'imagination artificielle agit comme une machine pour restaurer la mémoire d'une expérience esthétique. Elle devient une toile universelle où Bonnard, Monet et Van Gogh coexistent, non pas en tant que figures du passé, mais comme des potentialités, des échos de ce qui aurait pu être et de ce qui pourrait advenir. Dans cet espace imaginaire, la couleur sert de détonateur pour une réminiscence d'œuvres parfois vues, parfois rêvées. Souvenirs d'une exposition est né de ce désir fou d'un peintre : peindre des souvenirs.
Collectionnée par 0x810E
Comme un rêve dont on prend conscience seulement au réveil, c'est uniquement une fois terminé que ce projet m'apparaît comme une synthèse de deux thèmes qui me passionnent : la mémoire et la peinture.
La mémoire.
C'est le genre de sujet qui ne se présente pas à vous immédiatement, mais plutôt à travers le contact avec d'autres artistes qui laissent leur empreinte sur vous sans vraiment savoir pourquoi. Chris Marker, Godard ou Hitchcock en faisaient partie. Fasciné par leur travail, ils étaient mes maîtres dans ce que j'ai ensuite compris comme l'art du montage cinématographique.
Le pouvoir poétique des images du cinéma a été une révélation dans ma relation avec cette forme d'art. J'avais compris qu'il était possible de créer des images mentales simplement en juxtaposant deux images qui étaient distantes l'une de l'autre. En tournant autour de signes que j'avais encore du mal à saisir, mais en expérimentant constamment, ce n'est que par hasard que j'ai découvert les nuages de points. Cette technique permet de reconstruire un moment figé en trois dimensions à partir d'une série de plans. L'idée est de parcourir une rue avec un dispositif de tournage et de visiter le lieu, a posteriori, mais sous un autre angle, un autre point de vue, dans une relation différente avec le moment passé.
Il est alors possible de voir des motifs ou des situations qui avaient été capturés durant mon passage, mais que ma conscience n'avait pas pu saisir. Ainsi, j'avais devant moi quelque chose qui semblait être un squelette ou un fantôme du passé - en d'autres termes, une forme de mémoire qui pouvait être revécue ad infinitum.
Les villes abritent toutes sortes de tels souvenirs, qui à leur tour façonnent l'identité et le récit des villes. C'est pourquoi j'ai passé des années à les explorer, faisant évoluer progressivement l'esthétique même des nuages de points en une version animée, afin de rendre non pas un moment figé du passé, mais plutôt des moments de vie en mouvement, et, dans un style plus terne et plus coloré : en un mot, plus pictural.
La peinture.
Comment transmettre la mémoire d'une expérience esthétique aussi intense que celle de La Mort de Sardanapale ou de Les Ménines ? Comment rendre la densité, la profondeur, le hic et nunc d'une peinture ? Peut-être en essayant de tracer les contours de cette expérience, afin de restaurer non pas une copie exacte, mais plutôt les traces de sa mémoire.
L'imagination artificielle a été un facteur décisif dans la mise en œuvre de cette idée. En effet, cet espace ne serait-il pas un réservoir d'images rêvées, comme dans les villes, que nous devrions ensuite explorer pour révéler des souvenirs réprimés et des recollections oubliées ?
Mon ambition était d'explorer cet espace pictural de la même manière que je pourrais déambuler dans la ville en utilisant ma technique des nuages de points. Cette fois, je voulais m'approcher des imaginaires des peintres, non pas en restaurant les œuvres elles-mêmes, mais plutôt l'empreinte qu'elles avaient laissée dans ma mémoire. C'était comme revenir dans un quartier où j'avais vécu dans ma jeunesse, pour redécouvrir les mêmes sensations, mes aspirations encore intactes ou un amour perdu.
À sa manière, Souvenirs d'une exposition utilise l'imagination artificielle pour revivre, pendant quelques instants, ces moments suspendus dans le temps, peut-être pour les sauver de l'oubli.
Peindre les souvenirs
Que reste-t-il des œuvres d'art lorsqu'elles échappent à notre regard ? Il reste des traces produites par leurs mémoires. Une mémoire composée d'une série de motifs qui s'entrelacent pour constituer des images. Dans cette action proche de l'imaginaire, il s'agit, encore une fois, de donner vie à l'œuvre d'art. C'est faire revivre des formes passées en les actualisant dans notre présent.
La mémoire, province de l'imaginaire
Une œuvre d'art est le précipité de l'imagination de l'artiste. Cet acte de projeter des images qui deviendront ensuite matière est similaire à celui de la mémoire, où les images mentales sont agencées en vue de reconstruire le passé. Ces deux mouvements, l'un tourné vers l'avenir et l'autre vers le passé, se rencontrent dans un espace latent. Ici, l'imagination artificielle agit comme une machine pour restaurer la mémoire d'une expérience esthétique. Elle devient une toile universelle où Bonnard, Monet et Van Gogh coexistent, non pas en tant que figures du passé, mais comme des potentialités, des échos de ce qui aurait pu être et de ce qui pourrait advenir. Dans cet espace imaginaire, la couleur sert de détonateur pour une réminiscence d'œuvres parfois vues, parfois rêvées. Souvenirs d'une exposition est né de ce désir fou d'un peintre : peindre des souvenirs.
Comme un rêve dont on prend conscience seulement au réveil, c'est uniquement une fois terminé que ce projet m'apparaît comme une synthèse de deux thèmes qui me passionnent : la mémoire et la peinture.
La mémoire.
C'est le genre de sujet qui ne se présente pas à vous immédiatement, mais plutôt à travers le contact avec d'autres artistes qui laissent leur empreinte sur vous sans vraiment savoir pourquoi. Chris Marker, Godard ou Hitchcock en faisaient partie. Fasciné par leur travail, ils étaient mes maîtres dans ce que j'ai ensuite compris comme l'art du montage cinématographique.
Le pouvoir poétique des images du cinéma a été une révélation dans ma relation avec cette forme d'art. J'avais compris qu'il était possible de créer des images mentales simplement en juxtaposant deux images qui étaient distantes l'une de l'autre. En tournant autour de signes que j'avais encore du mal à saisir, mais en expérimentant constamment, ce n'est que par hasard que j'ai découvert les nuages de points. Cette technique permet de reconstruire un moment figé en trois dimensions à partir d'une série de plans. L'idée est de parcourir une rue avec un dispositif de tournage et de visiter le lieu, a posteriori, mais sous un autre angle, un autre point de vue, dans une relation différente avec le moment passé.
Il est alors possible de voir des motifs ou des situations qui avaient été capturés durant mon passage, mais que ma conscience n'avait pas pu saisir. Ainsi, j'avais devant moi quelque chose qui semblait être un squelette ou un fantôme du passé - en d'autres termes, une forme de mémoire qui pouvait être revécue ad infinitum.
Les villes abritent toutes sortes de tels souvenirs, qui à leur tour façonnent l'identité et le récit des villes. C'est pourquoi j'ai passé des années à les explorer, faisant évoluer progressivement l'esthétique même des nuages de points en une version animée, afin de rendre non pas un moment figé du passé, mais plutôt des moments de vie en mouvement, et, dans un style plus terne et plus coloré : en un mot, plus pictural.
La peinture.
Comment transmettre la mémoire d'une expérience esthétique aussi intense que celle de La Mort de Sardanapale ou de Les Ménines ? Comment rendre la densité, la profondeur, le hic et nunc d'une peinture ? Peut-être en essayant de tracer les contours de cette expérience, afin de restaurer non pas une copie exacte, mais plutôt les traces de sa mémoire.
L'imagination artificielle a été un facteur décisif dans la mise en œuvre de cette idée. En effet, cet espace ne serait-il pas un réservoir d'images rêvées, comme dans les villes, que nous devrions ensuite explorer pour révéler des souvenirs réprimés et des recollections oubliées ?
Mon ambition était d'explorer cet espace pictural de la même manière que je pourrais déambuler dans la ville en utilisant ma technique des nuages de points. Cette fois, je voulais m'approcher des imaginaires des peintres, non pas en restaurant les œuvres elles-mêmes, mais plutôt l'empreinte qu'elles avaient laissée dans ma mémoire. C'était comme revenir dans un quartier où j'avais vécu dans ma jeunesse, pour redécouvrir les mêmes sensations, mes aspirations encore intactes ou un amour perdu.
À sa manière, Souvenirs d'une exposition utilise l'imagination artificielle pour revivre, pendant quelques instants, ces moments suspendus dans le temps, peut-être pour les sauver de l'oubli.
Peindre les souvenirs
Que reste-t-il des œuvres d'art lorsqu'elles échappent à notre regard ? Il reste des traces produites par leurs mémoires. Une mémoire composée d'une série de motifs qui s'entrelacent pour constituer des images. Dans cette action proche de l'imaginaire, il s'agit, encore une fois, de donner vie à l'œuvre d'art. C'est faire revivre des formes passées en les actualisant dans notre présent.
La mémoire, province de l'imaginaire
Une œuvre d'art est le précipité de l'imagination de l'artiste. Cet acte de projeter des images qui deviendront ensuite matière est similaire à celui de la mémoire, où les images mentales sont agencées en vue de reconstruire le passé. Ces deux mouvements, l'un tourné vers l'avenir et l'autre vers le passé, se rencontrent dans un espace latent. Ici, l'imagination artificielle agit comme une machine pour restaurer la mémoire d'une expérience esthétique. Elle devient une toile universelle où Bonnard, Monet et Van Gogh coexistent, non pas en tant que figures du passé, mais comme des potentialités, des échos de ce qui aurait pu être et de ce qui pourrait advenir. Dans cet espace imaginaire, la couleur sert de détonateur pour une réminiscence d'œuvres parfois vues, parfois rêvées. Souvenirs d'une exposition est né de ce désir fou d'un peintre : peindre des souvenirs.
"Once Upon A Flower" est un jardin numérique né d'une collaboration entre moi-même et un GAN qui a fait ses débuts à Art X Lagos en novembre 2022. Il s'agit d'une projection dystopique d'un résultat probable du réchauffement climatique, qui dépeint un monde où les humains doivent désormais vivre avec des images simulées de plantes et de fleurs, qui ont toutes disparu de la Terre. À travers des collections de photographies assistées par l'IA d'une variété de flore indigène, originaire de la région sahélienne de l'Afrique de l'Ouest, l'installation pose la question fondamentale : Notre contemplation de l'art peut-elle restaurer notre capacité collective à nous pencher sur notre environnement et notre sens des responsabilités envers sa préservation ? L'installation tente de répondre à cette question par le spectacle de la flore en tant que souvenir lointain, afin d'évoquer un désir pour ce qui a été perdu et, espérons-le, de susciter le désir de protéger ce qui a survécu. J'ai d'abord dressé une liste de plus de 100 espèces de flore endémiques de la région sahélienne, classées comme menacées par la Liste rouge des espèces menacées de l'UICN. J'ai ensuite parcouru le web à la recherche d'images de ces plantes pour créer la base de données que j'utiliserais ultérieurement lors de la première phase d'entraînement. J'avais déjà rencontré certaines de ces plantes auparavant, mais beaucoup m'étaient inconnues. Il m'est apparue que je pourrais ne pas avoir l'occasion de voir la majorité de ces plantes dans la nature de mon vivant, compte tenu de la vitesse à laquelle la faune disparaît de la Terre. À partir de cette base de données, j'ai ensuite présélectionné des plantes qui, selon moi, s'intégreraient bien dans un jardin, et j'ai utilisé l'outil d'IA DALL.E pour générer un grand nombre de variations de chaque plante. Cela m'a permis de constituer une deuxième base de données, plus raffinée, spécifiquement pour cette installation, que j'ai utilisée pour entraîner un GAN. J'ai utilisé les premières sorties du GAN, soit 8 000 images de plantes, pour créer des animations de plantes individuelles que j'ai ensuite rassemblées dans la composition finale.
Pendant plusieurs années, les artistes Ryan Koopmans et Alice Wexell ont voyagé à travers le monde pour explorer et photographier des bâtiments abandonnés et des sites architecturaux uniques. Ils ont été attirés par ces lieux en fonction des qualités historiques, culturelles et architecturales particulières de chaque endroit. Des anciens temples dans les montagnes d'Arménie aux théâtres élaborés abandonnés au Moyen-Orient, les artistes ont parcouru des coins reculés de la planète dans des conditions exigeantes pour trouver des lieux remarquables et inédits où leur créativité pourrait s'exprimer. Une fois que l'architecture a été photographiée, les images sont ensuite modélisées en environnements virtuels et une végétation envahissante est introduite numériquement. L'éclairage et la structure sont modifiés, une composition musicale sur mesure est ajoutée, et la photographie est transformée en une image en mouvement qui se boucle de manière fluide.
Les intentions des artistes sont de raviver ces espaces vacants, ramenant essentiellement la vie dans les bâtiments. Ils visent à transporter le spectateur dans un lieu et un temps alternatifs, créant une collision surréaliste entre le passé et le futur, ainsi qu'une fusion entre les mondes physique et numérique. Conceptuellement, le thème de la préservation est renforcé par le fait que certains des bâtiments représentés dans les œuvres ont été démolis ou continuent de se détériorer, soulignant davantage le thème du passage du temps dans le cycle de la croissance et de la décadence. La fusion de la photographie de style documentaire avec le potentiel imaginatif des techniques d'animation aboutit à un ensemble d'œuvres captivant et méditatif.
'Désir' fait partie de la série 'Éternel', une collection d'œuvres numériques qui insufflent une nouvelle vie dans des bâtiments abandonnés et historiques en combinant la photographie avec l'animation pour créer des espaces architecturaux surréalistes, méditatifs et en mouvement.
Pendant plusieurs années, les artistes Ryan Koopmans et Alice Wexell ont voyagé à travers le monde pour explorer et photographier des bâtiments abandonnés et des sites architecturaux uniques. Ils ont été attirés par ces lieux en fonction des qualités historiques, culturelles et architecturales particulières de chaque endroit. Des anciens temples dans les montagnes d'Arménie aux théâtres élaborés abandonnés au Moyen-Orient, les artistes ont parcouru des coins reculés de la planète dans des conditions exigeantes pour trouver des lieux remarquables et inédits où leur créativité pourrait s'exprimer.
Une fois que l'architecture a été photographiée, les images sont ensuite modélisées en environnements virtuels et une végétation envahissante est ajoutée numériquement. L'éclairage et la structure sont modifiés, une composition musicale sur mesure est ajoutée, et la photographie est transformée en une image en mouvement qui se boucle de manière fluide. De plus, l’œuvre 'Désir' comporte une partition originale du compositeur Karl-David Larson.
Les intentions des artistes sont de raviver ces espaces vacants, ramenant essentiellement la vie dans les bâtiments. Ils visent à transporter le spectateur dans un lieu et un temps alternatifs, créant une collision surréaliste entre le passé et le futur, ainsi qu'une fusion entre les mondes physique et numérique. Conceptuellement, le thème de la préservation est renforcé par le fait que certains des bâtiments représentés dans les œuvres ont été démolis ou continuent de se détériorer, soulignant davantage le thème du passage du temps dans le cycle de la croissance et de la décadence. La fusion de la photographie de style documentaire avec le potentiel imaginatif des techniques d'animation aboutit à un ensemble d'œuvres captivant et méditatif.
'Elevate' est une œuvre issue du projet inaugural 'The Wild Within' de Ryan Koopmans et Alice Wexell. Cette série insuffle une nouvelle vie dans des bâtiments abandonnés de l'ère soviétique révolue. Basée sur des espaces physiques réels, une renaissance animée dans un royaume numérique a été créée.
À l'époque de l'Union soviétique, la ville géorgienne de Tskaltubo était une destination de santé prisée, célèbre pour ses eaux thérapeutiques et ses luxueux sanatoriums. Entre les années 1940 et 1980, des milliers de personnes ont visité la ville, y compris Staline et ses hauts fonctionnaires de Moscou. Lors de l'effondrement de l'Union soviétique, les bâtiments ont été abandonnés et sont tombés en désuétude. Depuis le début des années 90, ils ont été lentement démontés et dépouillés de leurs matériaux précieux, ne laissant que des coquilles vides de ce qui étaient autrefois de grandioses structures classiques. Koopmans a visité cette région pendant plusieurs années, explorant les ruines et photographiant les espaces. À leur retour, en collaboration avec Alice Wexell, ils ont introduit numériquement de la végétation, manipulé l'éclairage et la structure, ajouté du son par Tobias Hellkvist, et animé les scènes dans le but de raviver les espaces vides, ramenant essentiellement la vie dans les pièces.
Les résultats sont une collision surréaliste entre le passé et le futur, ainsi qu'entre les mondes physique et numérique. Certains des bâtiments représentés dans ce projet ont été démolis au cours des derniers mois, soulignant davantage le thème du passage du temps dans le cycle de la croissance et de la décadence.
'Euphoria' est une œuvre numérique qui transmet un récit captivant sur le cycle du temps, la résurgence de la nature et les nuances socio-historiques des paysages architecturaux. Cette œuvre unique (1/1) est une collision entre le passé et le futur, ainsi qu'entre les mondes physique et numérique.
Faisant partie de la série 'Symphonie' et de la collection 'The Wild Within', 'Euphoria' ramène à la vie un bâtiment historique abandonné en combinant la photographie et l'animation pour créer un espace architectural surréaliste, méditatif et mouvant. L'œuvre vise à raviver cet espace vacant en ramenant essentiellement la vie dans le bâtiment.
Ryan Koopmans et sa partenaire Alice Wexell ont voyagé à travers le monde pendant plusieurs années, explorant et photographiant des bâtiments abandonnés et des sites architecturaux uniques. Ils ont été attirés par ces lieux en fonction de leurs qualités historiques, culturelles et architecturales. Les lieux comprennent d'anciens temples dans les montagnes d'Arménie, des sanatoriums abandonnés en Géorgie, des villas en ruine au Moyen-Orient et au-delà. Une fois que l'architecture a été photographiée, les images sont modélisées en environnements virtuels, et une végétation envahissante est ajoutée numériquement. L'éclairage et la structure sont ensuite modifiés, une composition musicale originale du compositeur suédois Karl-David Larson est créée, et l'image statique est transformée en une image en mouvement qui se boucle de manière fluide.
L'architecture mise en avant dans 'Euphoria' est située dans un contexte intéressant, marqué par une histoire unique. La structure réelle est située à Tskaltubo, une petite ville géorgienne qui était autrefois une destination de santé prisée pendant l'Union soviétique. Des milliers de personnes visitaient les sanatoriums de la ville chaque année, des années 1940 aux années 1990. Après l'effondrement de l'URSS, les bâtiments ont été abandonnés et sont tombés en désuétude. Depuis le début des années 1990, les sanatoriums ont été lentement démontés et dépouillés de leurs matériaux précieux, ne laissant que des coquilles vides de ce qui étaient autrefois de grandioses structures classiques.
Cette salle de bal abandonnée dans le sanatorium Shaxtiori, construite en 1951 dans le style du classicisme socialiste, s'est avérée être l'environnement parfait pour que les artistes appliquent leur touche créative pour 'Éuphorie'. Le bâtiment continue de se détériorer et est lentement démonté, soulignant davantage le thème principal de l'œuvre, le passage du temps dans un cycle de croissance et de décadence.
À travers ces œuvres, les artistes visent à transporter le spectateur dans un lieu et un temps alternatifs. Cette fusion de la photographie de style documentaire avec le potentiel imaginatif des techniques d'animation aboutit à une captivante œuvre numérique en boucle.
"Layered Lattices" est une animation où des cercles superposés forment une grille méticuleuse, avec des lignes émanantes de chaque cercle se croisant pour créer une illusion en treillis. Dans cette série d’animations, la densité de chevauchement et les angles de ligne varient, transformant l’expérience visuelle tout en maintenant un thème cohérent et chaque animation a un aspect différent mais lié. Ce jeu dynamique de géométrie est enrichi par les couleurs variées des lignes et des cercles, qui se chevauchent et se mélangent pour dévoiler de nouveaux contrastes et harmonies. Les motifs en évolution et les subtils changements de couleur et de forme évoquent un sentiment de complexité offrant aux spectateurs une tapisserie visuelle en constante évolution qui explore la beauté de la géométrie et de l’interaction des couleurs.