« Stepmotherland » est une vision aérienne poétique de la Serbie, où des champs et des forêts denses se fondent dans des yeux vigilants incrustés dans le sol. De minuscules maisons rouges sont disséminées sur des parcelles rigides, évoquant à la fois l'appartenance et le déplacement. Créée du point de vue de l'immigration involontaire, l'œuvre reflète une gratitude complexe : une chaleur lointaine, mais sans étreinte. Une terre qui vous nourrit, mais qui ne vous considère jamais comme sien.