Artiste numérique contemporaine, Lena Ekert a développé une pratique à l’intersection des systèmes génératifs, des processus glitch, de l’art fondé sur le code et des outils d’intelligence artificielle, qu’elle aborde comme de véritables collaborateurs créatifs. Son processus de travail associe codage et peinture numérique, ainsi que des explorations avancées du comportement de la couleur et de la superposition vidéo expérimentale. Plutôt que de considérer la couleur comme une surface ou un ornement, elle l’envisage comme une condition à la fois porteuse de poids, de durée et de densité émotionnelle. Ekert travaille principalement avec la vidéo numérique générative, développant des systèmes qui équilibrent contrôle et dérive. Dans certains projets, elle intègre des processus assistés par l’IA, notamment lorsqu’elle travaille avec la figure humaine, utilisant la technologie comme un outil pour affiner la perception plutôt que pour automatiser l’expression. Sa pratique explore la perception comme un processus vivant : instable, réactif et en perpétuel renouvellement. Elle crée des œuvres où les systèmes numériques se comportent comme des organismes vivants, capables de se transformer, de se fragmenter et de révéler des états psychologiques subtils. Entre abstraction, géométrie et figuration, son travail ne se concentre pas sur la représentation, mais sur des états : perceptifs, émotionnels et temporels, vécus de l’intérieur plutôt qu’observés à distance.
Son travail a été présenté dans des institutions artistiques à l'international, notamment à Times Square, Miami Art Basel et Art Basel Switzerland, ainsi qu’à Art Lounge Clinic et Art Innovation Gallery. Sa démarche a également été mise en lumière par Forbes, soulignant la singularité de sa pratique et sa capacité à ancrer la technologie dans un langage artistique profondément émotionnel.
Artiste numérique contemporaine, Lena Ekert a développé une pratique à l’intersection des systèmes génératifs, des processus glitch, de l’art fondé sur le code et des outils d’intelligence artificielle, qu’elle aborde comme de véritables collaborateurs créatifs. Son processus de travail associe codage et peinture numérique, ainsi que des explorations avancées du comportement de la couleur et de la superposition vidéo expérimentale. Plutôt que de considérer la couleur comme une surface ou un ornement, elle l’envisage comme une condition à la fois porteuse de poids, de durée et de densité émotionnelle. Ekert travaille principalement avec la vidéo numérique générative, développant des systèmes qui équilibrent contrôle et dérive. Dans certains projets, elle intègre des processus assistés par l’IA, notamment lorsqu’elle travaille avec la figure humaine, utilisant la technologie comme un outil pour affiner la perception plutôt que pour automatiser l’expression. Sa pratique explore la perception comme un processus vivant : instable, réactif et en perpétuel renouvellement. Elle crée des œuvres où les systèmes numériques se comportent comme des organismes vivants, capables de se transformer, de se fragmenter et de révéler des états psychologiques subtils. Entre abstraction, géométrie et figuration, son travail ne se concentre pas sur la représentation, mais sur des états : perceptifs, émotionnels et temporels, vécus de l’intérieur plutôt qu’observés à distance.
Son travail a été présenté dans des institutions artistiques à l'international, notamment à Times Square, Miami Art Basel et Art Basel Switzerland, ainsi qu’à Art Lounge Clinic et Art Innovation Gallery. Sa démarche a également été mise en lumière par Forbes, soulignant la singularité de sa pratique et sa capacité à ancrer la technologie dans un langage artistique profondément émotionnel.
